Non classé

Le hacking à l’usage des débutants

Dans une récente tribune, Eric Heddeland, vice-président EMEA de Barracuda Netwoks, une société spécialisée dans la protection des courriels et des services Web des entreprises, montre comment des cybercriminels exploitent l’ingénierie sociale pour trouver les failles qui leur permettront de frapper au cœur des systèmes d’information publics ou privés. Avant de s’attaquer aux systèmes les hackers exploitent d’abord des faiblesses… humaines.

Ils pourraient être installés dans une chambre obscure, enfoncés dans leurs sweats noirs à capuche, en pianotant sur leur clavier à la recherche de vulnérabilités informatiques pour voler des données, faire dérailler un train ou encore diffuser un ransomware.

Mais aujourd’hui, ils s’appuient sur une organisation internationale qui donne accès à des supports techniques dédiés et commercialise des toolkits « clé en main » sur le darknet , les hackers ne sont pas forcément représentés par l’image d’Epinal décrite dans les magazines informatiques ou d’information générale. En effet, dans l’opinion publique, ces pirates du Web nourrissent bien des fantasmes.

Si en 2019, rien n’est inviolable, si tout se pirate et si tout se transforme dans l’univers numérique, parfois de manière spectaculaire, du smartphone à Google Home en passant par un stimulateur cardiaque, le hacking est surtout aujourd’hui une affaire d’usurpation d’identité. Elle repose de plus en plus sur une stratégie de mimétisme numérique à de fins douteuses : le social engineering.  Pourquoi ? Comment ?

Leçon n°1 : un travail de repérage minutieux

[…]

Cet article est bridé!

Si vous êtes inscrit, identifiez-vous ci-dessous pour lire cet article.

(Si vous n'êtes pas inscrit, vous pouvez tester tous nos contenus <<en vous inscrivant ici>>. Vous aurez alors accès aux articles entiers Jautomatise pendant 1 mois (excepté le contenu de nos deux derniers magazines) .).

Ces articles peuvent vous intéresser :