Sommaire du N°21

La robotique est au cœur des White Papers de ce mois-ci. Au programme: l’utilisation des outils de numérisation d’atelier complets; les moteurs brushless; la robotique industrielle transportable; la protection des pinces pendant une opération de soudage torche; l’atelier de tôlerie modulaire; la robotique de soudage à l’arc; la robotique dans la décoration des pièces automobiles.

La programmation des robots prend un deuxième virage chez Abb avec RobotStudio. Vont en porfiter les PME qui n’ont que quelques robots, voire une seule mécanique et qui souhaitent comme les « grands » pouvoir utiliser au mieux leurs mécaniques.
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Cela fait trois ans que Cermex augmente son offre de robot d’encaissage. Après l’ER 60 voici l’ER63. Cermex a ajouté un « degré » de liberté supplémentaire par le biais d’un troisième axe dans le sens transversal.
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Lors de ses journées consacrées à l’assemblage-montage, le Cetim a mis en exergue que le coût de la conception d’une cellule d’assemblage correspond à 5% du prix global, cette phase de conception influe sur 70% du coût total.

Ce White Papers préparé par l’Européean Robotics Research Network et l’European Robotics Forum fraîchement créé, fait le résumé de quarante ans de robotique, et des 55.000 personnes qui y travaillent.
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Matrix Vision s’implante en France. Spécialisé dans le marché des OEM elle propose trois grands types de produits: les cartes d’acquisition et processeur image, à intégrer dans un PC au format PCI ou CompactPCI; les caméras intelligentes; les logiciels d’interface et de développement.
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Moins connu, la même rivalité existe entre les automaticiens et les roboticiens. Pour permettre la communication des deux, Kuka considère les contrôleurs comme des OPC Serveur qui viennent se connecter à Ethernet. Sur ce même lien se trouvent des OPC Clients pour visualiser les informations des cellules.
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Fastcom avec son iMvs-157 intègre un capteur d’image CMOS de 1024 x 1204 pixels à accès direct, un processeur DSP 32-bit à virgule flottante de Analog Devices, le tout combinés à l’interface Camera Link.
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Pour son dixième anniversaire Can in Automation fait le point sur ce réseau qui a réussi à s’implanter durablement dans l’industrie, après avoir été mis au point par Bosch.

Le monde de l’embarqué s’emballe. Après la fusion de Kontron et de Pep, à la même période Inside Technology rejoignait Jumptec. Et en ce début d’année les deux groupes allemands se regroupent au sein de Kontron.
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C’est à Hanovre que Comau devrait dévoiler sa nouvelle stratégie. Le premier robot serait un gros porteur. On parle d’un robot six axes pouvant manipuler 500 kilos.

L’utilisation de plusieurs mécaniques avec une seule baie de commande prend sa vrai dimension. C’est à la demande de Renault que la filiale française de Fanuc propose une solution innovante.
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Un mur séparait le monde de la mesure et de l’instrumentation avec celui des automatismes. National Instruments et Siemens se sont mis d’accord pour le faire sauter.
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La gamme des FlexFeeder d’Adept fait un nouveau pas en avant. Dorénavant le système utilise un robot six axes avec dépalettisation de pièces recouvertes ou non placées horizontalement.
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Avec son nouveau produit Weld Inspector, Satimage vient proposer un produit dédié au marché du raboutage laser, un système de vision embarqué et monté à l’arrière d’une tête de soudage.
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Il fallait oser, Festo l’a fait. Jusqu’à maintenant, pour programmer un automatisme c’était la bonne vieille méthode de la console de programmation qui fonctionnait. Avec EasyControl, c’est le Palm qui programme.
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Avec sa nouvelle gamme, Cognex propose l’ensemble des éléments constitutifs d’un système de vision. La première brique c’est VisionPro la plate-forme de développement sur PC suivi de CogLink la protocole de communication.
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Avec sa CS8, Staubli positionne son contrôleur pour les applications simples de pick and place, de manutention et d’assemblage. Mais que trouve t-on dans le ventre de la CS8? Un PC industriel, le langage Val III…
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La proposition de la fondation OPC de standardiser à l’échelon mondial les principales solutions de bus de terrain et de réseaux Ethernet a fait des émules. Ils sont plusieurs à suivre la voie de la recherche de standardisation.

Avec l’Opéra de Paris, Rockwell a signé l’une de ses premières applications avec son concept de Logix. L’application réutilise les composants existants et gère les cintres de l’Opéra de Paris.
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La robotique dans les applications agroalimentaires tarde à démarrer. Pour preuve les chiffres et les souhaits que vient de présenter Nestlé. A la fin de l’année 2000, ce sont 200 robots qui sont installés dans les usines du groupe Suisse.

Le Projet Diapason a été initié par Renault, il y a deux ans avec pour finalité la mise en œuvre d’un vaste programme de réaménagement de ses points de vente. Au cœur du système un PC embarqué.

Pour comptabiliser les résultats de l’années 2001, nous étions dans l’expectative. Pourtant la baisse est d’environ 8% seulement. Beaucoup de fournisseurs parlaient de -10%, et certains étaient même plus pessimistes.

Quelles seront les applications embarquées temps réel de demain et comment seront-elles conçues ? Quels sont les outils de développement qui seront nécessaires pour les mettre en œuvre ? Voici les premiers éléments de réponse.

Les années 80 et 90 ont d’abord vu l’avènement des bus de terrains. Cette offre a satisfait la plupart des clients, mais aujourd’hui arrivent les bus USB et Firewire. Qu’apportent-ils de plus?
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L’Interface Homme Machine constitue le premier lien du pilotage d’un système automatisé. Qu’il soit à base de Pc industriel endurci avec un système d’exploitation standard du monde informatique ou de pupitre opérateur construit autour de système d’exploitation propriétaire.
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Les interrogations sur Ethernet/IP ne manquent pas, nous en avons profité pour interroger un certain nom
re de protagonistes qui ont accepté de répondre à nos questions parfois dérangeantes.